Article du
PATRICIA PENSE À TOI - 01/07/22
Bienvenue à toi, ô mois de juillet, mois des cancers et des lions, signes solaires comme il en existe peu.
Ce mois de juillet qui s'annonce est crucial pour vous. Alors au lieu d'aller dépenser votre pécul chez un acupuncteur, un masseur de yeps, ou un gars qui fait du shiatsu à la recherche de votre point P, sachez qu'il existe une solution hybride et révolutionnaire qui vous permettra d'assurer l'extase à vos pieds en même temps qu'un bien être incomparable au reste de votre corps.
Cette solution passe par l'achat de mes escarpins, bottines ou sandales. Et ô, comble du hasard, iels sont en soldes.
Cette coïncidence tout à fait lelouchienne me pousse à vous dire qu'il n'y a pas de grandes marques sans de grandes rencontres ni de grandes blondes sans chaussures noires.
Bon sinon un 1er juillet il s'est passé quoi les années précédentes ? Eh bien Léa Seydoux est née un 1er Juillet mais est-il bien nécessaire de lui dérouler ici bas le tapis rouge alors qu'elle est l'égérie de notre concurrent le plus direct, à savoir Vuitton ? Bien entendu que non.
Même si nous l'aimons beaucoup ici et pensons très concrètement qu'elle aurait plus sa place parmi nous qu'en affiche gigantesque sur la 5ème. Aujourd'hui je vais faire le choix de célébrer une étasunienne, la muy simpatica Liv Tyler.
Je l'avais découverte dans le clip de son père en 1993 lorsqu'Aerosmith revenait sur les devants des écrans après une traversée de Gobi et un album qui les remettait, un peu, au goût du jour. J'ai de suite adhéré à son trouble de l'attention, adoré sa mâchoire un peu carrée.
Et puis son début de carrière ciné avec sa participation à un film de Bertolucci, à deux d'Altman (classe ultime). Elle a aussi joué dans la dernière bonne série jamais produite: The Leftovers. Dernière raison pour laquelle je l'aime intensément, son père adoptif. Celui qui a assuré quand son père biologique était en proie à la came, un certain Todd Rundgren. Un merveilleux mélodiste qui me fait pleurer des larmes de cristal à chaque fois que je l'écoute.
Je vous laisse donc en sa compagnie en vous souhaitant un putain de weekend qui chante et pétarade sa race.
Et voici donc le roi de la mélodie qui file une patate, douce :