La Cooper chausse à la pointure. Si vous avez le pied un peu fort, privilégiez la demi pointure supérieure.
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DELAIS DE RETOURS PROLONGES A L'OCCASION DES FÊTES JUSQU'AU 7 JANVIER 2025
FRANCE : LIVRAISON 48H -OFFERTE EN POINT RELAIS À PARTIR DE 300€
PAIEMENT EN 3 OU 4 FOIS*
• Hauteur de Talon : 7 cm • Nubuck Rose, Détails Glitter Fin Rose • Semelle intérieure et extérieure Cuir • Fabrication : Espagne
Note : la peausserie peut présenter des irrégularités.
Qui suis-je ?
Champion des champions, beauté inégalable d'une saison qui n'en finit plus de vous émerveiller, voici que débarque sans crier gare, mais avec les spotlights braqués sur lui, l'escarpin Cooper, une sémillante expression de tous les talents combinés de Patricia, queen of groles. Le Cooper, pour faire simple, est tout d'abord un hommage à l'Agent Dale Cooper, que l'on ne présente plus et aussi le fleuron de cette collection qui fera parler, jusqu'à Jakarta. Le Cooper possède un talon de 7 cm et une classe que toutes et tous vous envieront.
Matière et entretien
Pour la partie en nubuck, il est important d’imperméabiliser la matière avant la première utilisation, puis fréquemment si vous souhaitez conserver vos chaussures en bon état. Faites attention à n'imperméabiliser que le nubuck car le glitter ne nécessite aucun entretien particulier si ce n'est de l'attention et un amour constant. Evitez les expositions prolongées au soleil et à l’eau. Veillez à bien enlever le plastique de protection sur la semelle avant de porter vos chaussures une fois que vous êtes sûre de ne pas les retourner pour remboursement et n'attendez pas trop pour faire poser un patin sur vos semelles par un cordonnier chevronné.
Livraison
Portez vos Patricia Blanchet à vos pieds à la vitesse de la lumière, grâce à notre service Colissimo, ou préférez le retrait en magasin pour les plus pressées d'entre vous !
Retrait en magasin GRATUIT : venez retirer vos articles immédiatement après avoir passé commande dans notre palais situé au 20 rue beaurepaire 75010 Paris.
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Colissimo domicile France Métropolitaine : 9€ (+2€ par paire supplémentaire), votre colis est livré sous 48h environ directement à l'adresse de votre choix, pour toute commande passée avant 13h, du lundi au vendredi. Les commandes passées le vendredi après 13h seront expédiées le lundi suivant.*
Colissimo en Point Relais Europe : entre 10€ et 16€ pour une paire commandée, en fonction du pays de destination. Délai de livraison d'environ 3 à 8 jours selon la zone concernée. Disponibilité des points relais en fonction des pays et zones d'habitation.
Colissimo à domicile Europe : entre 10€ et 16€ pour une paire commandée, en fonction du pays de destination. Délai de livraison d'environ 3 à 8 jours selon la zone concernée.
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Retour
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Vous avez quand même des questions ? Contactez notre service client par email contact@patriciablanchet.com ou par téléphone +33 (0)1 42 02 35 85.
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LA VÉRITABLE HISTOIRE DE LA COOPER
Vous avez bien compris, depuis le temps que vous me connaissez, chaque nom que je donne à mes modèles a une portée symbolique. Et la Cooper fait partie de mon spectre historique.
C'est une histoire qui prend forme alors que je viens d'avoir 18 ans et un enfant. Quelle idée de devenir mère au sortir de l'adolescence. Quelle idée de devenir mère tout court. À quoi bon vouloir transmettre nos névroses à des êtres qui n'ont rien demandé ?
Mais c'est un autre débat que j'ouvrirai un jour ultérieur en même temps que les portes menant à Belzébuth.
À cette époque je n'avais aucune jugeote, juste le désir de répliquer exactement ce qu'avaient fait mes parents avant moi.
J'étais dans la copie sans jamais penser que cela impliquerait tant de responsabilités. J'étais jeune, loin d'imaginer qu'on tombait enceinte au premier coup de ...bip... Mais maintenant que j'étais devant le fait accompli, et que je le voulais, il fallait assumer.
Je mis alors tout en œuvre pour que mon fils soit heureux. Il fallait déjà que je trouve un emploi pour mettre à manger dans son assiette et à cette époque, je m'étais séparée de mon mec qui me cassait les steaks.
Pour faire ma tête de mule et aiguiser sa jalousie, je m'étais faite engager comme pole danceuse
dans un endroit aujourd'hui disparu, rue Princesse, à deux portes de chez Castel. Cela dura un peu plus de six mois avant de se faire fermer par les flics puisque le patron refusait de leur verser des pots de vin.
Après cela je n'avais pu les moyens de payer le loyer de mon studio rue Madame alors je m'exilai dans le 9-4. À Alfortville exactement.
J'y louais une petite chambre dans le grenier d'un pavillon appartenant à une famille arménienne dont le patriarche m'avait à la bonne. Il n'était pas libidineux non, ni vraiment malsain. Mais il n'hésitait pas à faire des petites blagues grivoises parfois, alternant avec des compliments sur mon physique. C'était toujours bon enfant, parfois à la limite, mais j'arrivais à le garder suffisamment à distance pour éviter tout dérapage de sa part. J'avais beau payer ce nouveau loyer une misère, il me fallait quand même avoir des rentrées d'argent et il était clair dans mon esprit que je ne retournerais pas me dénuder à danser devant des ivrognes.
Le destin choisit de me montrer une voie royale un soir de juin alors que j'étais en train de conduire le papi arménien pour une visite de contrôle à l'hôpital de Villejuif.
Sur la banquette arrière se tenait son neveu, bien plus vieux que moi, qui vivait lui aussi dans le pavillon. Sur la nationale qui nous menait au rendez-vous, je fus prise à partie par une bande de voyous qui se moquaient de moi juste parce que j'étais une femme au volant. Jeune qui plus est. Ils commencèrent à me faire des queues de poisson, à tenter de me terroriser. Mais pour une raison que je ne pourrais toujours pas expliquer, une étrange énergie parcourut mes doigts et les pieds, me poussant à accélérer pour revenir à leur hauteur et d'un coup de volant les précipiter dans le fossé. Ce fut net, sans bavure. Tant et si bien que le neveu, impressionné, en parla tout autour de lui.
Le lendemain je fus invitée à Mandres-les-Roses pour prendre part à une course de stock-car.
Je n'avais jamais entendu parler d'une telle discipline mais ne reculant devant aucun défi, je m'installai dans le véhicule que l'on me proposa et me mis à jouer à l'auto-tamponneuse version sérieuse. Je n'en menai pas large à la première course mais au fur et à mesure de la journée je pris confiance. Et en début de soirée, je remportai la course finale ainsi qu'une récompense en liquide qui n'était pas pour me déplaire.
Et je vous le donne en mille, quel était le nom de la voiture avec laquelle je concourais ? La Cooper.
Il est donc tout à fait légitime que j'offre à ce sémillant escarpin au talon de 7 le nom du bolide avec lequel je tutoyai tant de cimes.