Article du
LA NEWSLETTER DES SUPERSTITIONS, DES TALONS, ET DES RHODODENDRONS
Chère vous.
Vendredi 13. Ce jour où les superstitieux se planquent, évitent les miroirs et implorent les chats noirs de rester loin d’eux. Mais vous ? Vous n’êtes pas de celles qui reculent devant un calendrier. Vous êtes de celles qui se glissent dans des Patricia Blanchet, claquent la porte, et transforment ce jour soi-disant maudit en une scène rien qu’à vous. Parce qu’honnêtement, entre la superstition et vos talons, devinez qui gagne ? On le sait, vous avez déjà la réponse.
Vendredi 13 : un peu d’histoire pour briller
Pour celles qui aiment les anecdotes à sortir en soirée, sachez que la mauvaise réputation de ce jour remonte aux Templiers, arrêtés un vendredi 13 en 1307. Depuis, on en a fait un symbole de malchance. Et franchement, quoi de plus jouissif que de retourner cette superstition contre elle-même ?
Dites-vous bien que si un chat noir vous croise aujourd’hui, ce n’est pas pour vous porter malheur. Il admire vos grolles. Et s’il passe sous une échelle, il se moque bien des rumeurs. Lui, comme vous, sait que l’élégance est la seule chose qui compte.
Superstitions et Noël : osez la collision
Décembre, c’est ce moment où tout le monde fait semblant d’être sage en espérant ne pas finir sur la liste noire du Père Noël. Mais mélanger vendredi 13 et l’esprit de Noël, c’est comme combiner escarpins dorés et velours rouge : osé ? Bien sûr. Splendide ? Toujours. On est dans du Tim Burton.
Les règles n’existent pas.
Si quelqu’un vous dit de ne pas passer sous une échelle, passez-y quand même, mais avec des chaussures si impressionnantes que même l’échelle vous fera la révérence. Si vous brisez un miroir, laissez-les parler des sept ans de malchance pendant que vous admirez vos reflets dans une vitrine de Noël.
Faites de ce jour votre porte-bonheur.
Aujourd’hui, oubliez les superstitions et offrez-vous un moment. Sortez, bravez ce soi-disant jour de malchance, et marchez avec mes talons qui disent tout haut : “C’est mon jour, et rien ne m’arrêtera, pas même Michel Barnier”.
Votre récompense ? Vous.
Mes collections sont là pour une seule raison : transformer vos pas en œuvres d’art. Pas de chance, pas de malédiction, seulement des chaussures qui vous rappellent à quel point vous êtes irrésistible. Si aujourd’hui est censé porter malheur, alors faisons de cette malchance quelque chose de spectaculaire.
PS : Si quelqu’un ose critiquer vos choix aujourd’hui, regardez-le, souriez, et continuez de marcher. Vous venez probablement de leur changer la journée.