{# UI #} Caret Right Caret Left Caret bottom Heart Plus Minus Cross Arrow left Account Cart Cart empty Clipboard Menu Search {# Media #} Play pause {# Socials #} Fb Insta Pinterest Tiktok Tumblr Snapchat Youtube Vimeo Twitter {# Logo #}
NOUVEAU ! FRANCE : livraison point relais gratuite à partir de 300€
RETOUR SIMPLIFIÉ EN POINT RELAIS
Possibilité de payer en 3 fois sans frais
Livraison dans le monde entier

Article du

PATRICIA IS PULP FICTIONING YOU - 26/11/21

Où que vous alliez, quoique que vous lisiez, receviez dans vos boîtes mails, cela n'aura jamais la même saveur que ce que nous vous délivrons deux fois par semaine dans vos mailboxes, fiévreuses de savoir quelles merveilleuses chaussures elles auront la chance de pouvoir admirer en avant-première, avant de vous les faire découvrir.

Car si Patricia est bel et bien la Queen of Groles, elle est aussi désormais reconnue comme étant la princesse des paillettes par un jury composé de fashion-philosophes.

Mais évidemment j'en ai trop dit, je vous laisse donc mouiller vos yeux d'une joie indissimulable. A part ça, un 26 novembre, que s'est-il passé ? Bah un truc assez déplaisant, il y eut la seconde partie de carrière de Tarantino. Et elle en comporte 3. La première se déroulait à merveille, même s'il avait pompé allègrement un polar hong-kongais pour faire Reservoir Dogs.

Mais derrière il aligna Pulp Fiction, matraqué plus que de raison par tous les médias, et dans toutes les soirées, les bars, me provoquant un écoeurement du film alors qu'il est très bon.

Mais surtout, arrive derrière un miracle, Jackie Brown, une œuvre magistrale et apaisée, faisant de Samuel Jackson un des criminels les plus inquiétants, de de Niro enfin un acteur crédible sorti de ses rôles d'italo-américain violent, et la redécouverte de Pam Grier ainsi que Bridget Fonda en fumeuse de weed hilarante.

La BO était parfaite, et les dialogues ne roulaient pas des mécaniques, on était sur du low-profile, dans le film d'un type qui n'avait pas besoin d'en faire des caisses pour que l'on remarque qu'on était face à un grand film. Et alors que tout allait bien, il entre dans une autre époque, celle du film sarkozyste, bling-bling, bavard, qui emmerde tout le monde et ressemble à une pub pour un shampoing. C'est donc un 26 novembre que sort Kill Bill. De mémoire le dernier film duquel j'ai quitté un salle tellement il m'était insupportable.
Après cela, il commence un ciné verbeux, démonstratif, clinquant, désincarné. Seule lumière au tableau, avoir réussi à sortir Christoph Waltz et en faire une star internationale. Mais heureusement la 3ème époque a débuté avec Il était une Fois à Hollywood. Mais elle devrait aussi se clore bientôt car il a toujours répété qu'il ne ferait que dix films, et il ne lui en reste plus qu'un à réaliser. Sur ce, je vous embrasse.

Voilà de quoi mettre un soleil nucléaire dans votre existence :

Article précédent Retour aux articles Article suivant
France : livraison gratuite en point relais à partir de 300€*
nouveau : retour simplifié*
Paiement en 3 ou 4 fois sans frais*