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QUAND VOS PIEDS FONT BOUM ! - 17/12/21
On ne la voyait pas venir, mais elle est là malgré tout, arrivée si vite, cette dernière ligne droite qui nous mènera tout droit vers Noël et sa sacrée soirée.
Alors cette newsletter est là pour vous secouer, vous réveiller, vous dire, hey, il n'est pas encore trop tard pour faire un cadeau qui fera de vous la bienfaitrice de votre humanité proche. Ne passez pas à côté des choses simples (c'est bon vous l'avez cette put@#‡ de flûte de pan qui file le bourdon en mode dépression, qu'on entend dans le métro à Montparnasse-Bienvenüe) ? Maintenant que c'est fait, que vous avez bien mis les boules, je vous invite à un feu d'artifice sans équivalence, une fête des sens. Un banquet de la jouissance ininterrompu auquel vous avez votre place pour l'éternité.
Sinon un 17 décembre est sorti un film essentiel pour beaucoup de gens, pas moi. Mais vous connaissez mon empathie légendaire, et ma soif de vous tenir informée coûte que coûte. Ce film c'est la Boum.
La Boum c'est plus de 4 millions d'entrées en France, mais surtout 15 millions dans toute l'Europe. Ce film est tiré d'une idée de Danièle Thomson, toujours dans les bons coups, qui en rentrant chez elle à l'improviste, découvre que sa fille avait organisé une Boum sauvage (coïncidence ? Hasard de la vie ?). Elle écrit quelques lignes d'une intrigue et le propose à Claude Pinoteau qui s'empare du projet. La suite on la connaît à peu près, triomphe intergalactique et surtout, découverte d'une petite star qui n'en finit plus de squatter nos médias depuis 40 ans.
Un truc de barge car depuis cette époque, ou presque, Sophie Marceau est la française préférée des français. Est-ce mérité ? Eh bien elle a tourné avec Zulawski (qui était son compagnon), Alain Corneau, Pialat, de Broca... de grands noms du cinéma. Puis Antonioni, Rob Reiner pour l'international.
C'est donc une belle et riche carrière, et quelques errements mais qui n'en a pas connus, à part les filles en Patricia Blanchet ? On est d'accord. Guirlandes de baisers sur vos pieds.
Je crois qu'il est temps de se prendre dans les bras :
